• MEFAITS DE LA SURCONSOMMATION DE VIANDE

      C'est à partir des viandes non digérées que se forme dans l'intestin les substances le plus toxiques. La ration de viande doit rester modeste. 85% au moins de notre nourriture devraient être d'origine végétale, et 15 % au plus d'origine animale.  La viande Mal mastiquée, est mal digérée est responsable de putréfactions intestinales. On voit augmenter la fréquence des cancers du côlon dans les pays gros consommateurs de viande.   Catherine Kousmine, dans: " Sauvez votre corps !

    Dans nos sociétés, une alimentation riche en graisses et en aliments à forte densité énergétique, centrée autour d'aliments d'origine animale, a remplacé l'alimentation traditionnelle principalement basée sur des aliments d'origine végétale. Cela a joué un rôle clé dans l'augmentation de la prévalence des maladies chroniques évitables d'origine nutritionnelle : obésité, diabète, maladies cardio-vasculaires, cancers et ostéoporose principalement.

     

    Afin d'évaluer le coût des soins médicaux directement imputables à la consommation de viande, le Physicians Committee for Responsible Medicine (comité de médecins pour une médecine responsable) a comparé la prévalence de l'hypertension, des maladies cardiaques, des cancers, du diabète, des calculs biliaires, et de l'obésité chez les végétariens et chez les non-végétariens aux Etats-Unis. Il ressort de cette étude qu'entre 29 et 61 milliards de dollars annuels sont directement attribuables à la consommation de viande.

      Une alimentation pléthorique et trop riche en graisses favorise l'obésité, laquelle augmente considérablement le risque de maladies cardiaques, d'accidents vasculaires cérébraux, de diabète, et de divers cancers. Ces quatre pathologies sont responsables de plus de la moitié de l'ensemble des décès dans les pays riches.

    Il est donc possible de prévenir ou de guérir les maladies liées à la sur-alimentation par un changement d'habitudes alimentaires et de mode de vie.

    Ainsi, 30 à 40% des cancers, 17 à 22% des maladies cardio-vasculaires et 24 à 66% des cas de diabète pourraient être évités par une forte réduction de la consommation d'acides gras saturés (présents principalement dans la viande, les oeufs et les produits laitiers) et par une augmentation de l'activité physique.

    Une recherche menée par l'école de santé publique de Harvard a montré que les alimentations traditionnelles ayant été associées à une meilleure espérance de vie et à un taux réduit de maladies d'origine nutritionnelle étaient des alimentations basées principalement sur des aliments végétaux (riches en céréales complètes, légumes, fruits et noix), et de très faibles quantités -voire une absence- de produits animaux.

    Alimentation et santé publique: un constat inquiétant

     


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