• PESTICIDES PRODUITS CHIMIQUES, RAS LE BOL !

     PESTICIDES ,PRODUITS CHIMIQUES , RAS LE BOL !

    Plus une Terre est enrichie en matières organiques, plus elle devient fertile et plus les végétaux qu’elle nourrit sont capable de se défendre contre les maladies et les parasites. Visionner à ce sujet dans les liens vidéos « Hippocrate avait raison » (3,30 minutes). Les microorganismes du sol qui élaborent et fournissent aux plantes les éléments dont elles ont besoin sont  nourris par les engrais organiques.

    La pollution alimentaire : engrais chimiques, pesticides, ogm, additifs alimentaires

     


     

    Cela fait des décennies qu’on nous promet que les plantes génétiquement modifiées sont la clé pour éradiquer des problèmes tels que la faim dans le monde, la pollution par les pesticides, les ravageurs ou la malnutrition. Jusqu’ici, ces promesses sont restées lettre morte. En réalité, les techniques de génie génétique n’ont fait que renforcer l’industrialisation de l’agriculture, avec sa cohorte d’effets négatifs non seulement sur l’homme et sur l’environnement, mais aussi sur notre souveraineté alimentaire1 et donc notre aptitude future à pouvoir nous nourrir.

     

    Les nouvelles techniques de génie génétique sont des manipulations non naturelles du génome. Souvent présentée comme une technologie précise, la transgenèse est en fait une technique très invasive pour le génome de l'espèce hôte puisque les insertions se font aléatoirement et de manière non contrôlées par le technicien. (source : stopogm.ch, mars 2018)

     

    Risques pour la santé humaine

     

    Les deux types de risques associés à la consommation d’ogm ou de produits issus d’ogm sont l’allergie et la toxicité. Dans les pays développés, les allergies sont en augmentation d’année en année et il est possible que les ogm les poussent vers le haut. Quant aux risques toxiques, malgré un discours dominant rassurant, il est impossible de l’écarter complètement.

     

    Risques pour l’environnement

     

    Les principaux risques liés à l’environnement concernent la biodiversité. Des études ont montré que les toxines produites par des cultures ogm tuent indifféremment des insectes nuisibles à la plante ogm ou inoffensifs pour la culture. Un autre problème de la culture plein champ des ogm est lié au transfert de gène, c’est-à-dire le déplacement du pollen de la plante modifiée génétiquement à une autre plante sauvage ou d’une autre culture, on appelle ce phénomène la pollinisation croisée.

     

    Risques agronomiques

     

    Déjà en agriculture conventionnelle chimique il reste toujours, après le passage d’un produit phytosanitaire quelques insectes ou quelques plantes résistantes à ce produit. Ils se reproduisent et au bout de quelques années, la population entière de nuisibles est devenue résistante à l’herbicide ou à l’insecticide. De la même manière, l’utilisation des ogm de façon massive risque d’induire une résistance aux insectes. Pour les pesticides quand ils deviennent moins efficaces il faut en mettre plus ou en inventer d’autres… mais jusqu’où ?

     

    Risques économiques

     

    Le risque vient d'une contamination involontaire des champs, auquel cas, la culture contaminée sera classé comme ogm et les agriculteurs seront obligés de dédommager l'entreprise propriétaire de la variété ogm. C’est le cas d’agriculteurs américains accusés par la compagnie monsanto de s’être procuré des semences ogm illégalement, sans avoir versé la redevance. Eux se défendent, mettant sur le compte de la pollinisation croisée la contamination de leurs cultures. Si le marché est « inondé » d’ogm, les alternatives et le choix des agriculteurs seront réduits. Ce sera la disparition des agricultures paysannes et la dépendance des agriculteurs aux entreprises vendant des ogm(source : lanutrition.fr mars 2018)

     

    En réalité les ogm sont des produits, végétaux ou animaliers brevetés par des multinationales sans scrupule. Leurs buts ne visent en aucun cas la santé, le bien-être ou l’amélioration de l’agriculture pour nourrir la population mondiale.

     

    Leur objectif premier est de s’enrichir à milliards pour engraisser des actionnaires sans morale. Leur pouvoir repose sur un empire financier qui leur permet de corrompre des scientifiques dans les conclusions de leurs rapports, d’influencer des décisions politiques au niveau des états en faisant adopter des lois qui leur sont favorables et défavorables à l’agriculture paysanne de petite échelle. Les produits ogm ne sont qu’un prétexte, une astuce pour modifier le vivant et se l’approprier en le revendant à prix d’or au monde.Ces Grands groupes privés visent le contrôle mondial des semences et des aliments pour asservir tous les états de la planète.

     

    Trois entreprises contrôlent les 53 % du marché mondial des semences, six compagnies de pesticides dominent les 76 % du secteur et dix corporations se partagent les 41 % du marché des fertilisants.(mondialisation.ca , rapport du 15 juin 2014)

     

     

     

    La référence en matière d’additifs alimentaires est certainement corinne gouget, auteure et conférencière. Cela fait plusieurs années que corinne gouget dénonce le scandale sanitaire des additifs alimentaires et de l'aspartame, et pour cela, sous la pression du lobby agro-alimentaire, elle se vu retirer la garde de ses deux filles par la justice française2.

     

    Les additifs alimentaires sont extrêmement variés. Les additifs alimentaires sont des substances ajoutées à l'alimentation, qui doivent être mentionnés dans la liste des ingrédients. Ils ont pour vocation d'améliorer non pas les qualités nutritives mais les caractéristiques techniques de l'aliment: texture, couleur, saveur, stabilité à la conservation, ... Les additifs alimentaires sont classés par catégories : colorants, conservateurs, antioxydants, émulsifiants, épaississants, stabilisants, gélifiants, régulateurs de ph, exhausteurs de goût, et édulcorants. Les agents de lavage, de pelage, de démoulage, solvants, enzymes, agents désodorisants et anti-moussants ne sont pas mentionnés sur les étiquettes.

     

     
    A chaque additif est associé un code e (par exemple, glycérine = e422), et le nom de l'additif ou son code peuvent apparaître indifféremment sur l'étiquette du produit, selon que l'un ou l'autre est plus séduisant : il vaut mieux mentionner que le produit contient de la "chlorophylle" plutôt que du "e140", mais il est plus rassurant de lire sur une étiquette e214 que p-hydroxybenzoate d’éthyle ou parabènes.

     


    Il y a plus de 650 additifs alimentaires autorisés en france. Sur les 500 additifs listés dans le guide "additifs alimentaires : danger" de corinne gouget, environ 2/3 sont classés rouge (à éviter), 1/6 orange (méfiance) et 1/6 vert.
      

     

    Même si en général on a identifié les effets secondaires de chaque additif pris séparément, les quelques études qui ont mesuré l'effet cocktail de certains additifs combinés, montrent que lorsqu'ils sont consommés ensemble, leurs effets toxiques sont multipliés par 5, 10 ou 20. Parmi ces additifs, deux sont particulièrement néfastes, présents dans l'alimentation, et méritent toute notre méfiance : le glutamate monosodique et l'aspartame. Le glutamate monosodique est un exhausteur de goût utilisé dans 95 % des préparations industrielles. Le glutamate monosodique a été reconnu toxique dès les années 1950, pour ces effets neurotoxique, il entraîne l’auto-destruction des neurones, perturbe le fonctionnement du système nerveux en entraînant des troubles neurologiques majeurs et des maladies neurodégénératives, de plus, il peut provoquer des troubles majeurs du comportement et de l’humeur,

     

    Il est aussi tératogène (c’est-à-dire qu’il augmente le risque de malformations du fœtus), cancérigène, c’est un addictif important, il provoque des troubles de l’alimentation, des troubles du métabolisme.

     

    L'aspartame a été synthétisé en 1965 dans les laboratoires searle, ses propriétés sucrantes ont été découvertes accidentellement par un chimiste qui cherchait un médicament contre les ulcères. L'aspartame a été reconnu toxique dès 1967 par des chercheurs comme harold waisman et john olney, qui ont constaté qu'il provoquait entre autres des tumeurs, des cancers, et des malformations congénitales sur les animaux de laboratoire. (

     

    Source : le 17 mars 2018, site de marc resch, rubrique : les additifs alimentaires, http://mresch.free.fr/cru3.php )

     

    Encore une fois on constate que les intérêts économiques des entreprises privées prévalent sur la santé des populations. Malgré la toxicité reconnue depuis des décennies de certains additifs alimentaires, ils ne sont pas retirés du marché et continuent à faire de nombreuses victimes. Je vous recommande de visionner sur youtube, certains entretiens très instructifs et éloquents à ce sujet donné par corinne gouget.

     

    Pour se prémunir des additifs alimentaires dangereux, le mieux est d’avoir avec soi le guide des codes e quand on fait ses courses, et de limiter au maximum l’achat d’aliments industriels.

     

     

     

    Pesticides : à l’origine les pesticides sont issus de recherches menées durant la seconde guerre mondiale3. Ces investigations chimiques qui originellement visaient à être utilisées contre l’ennemi, ont permis la découverte de substances organiques mortelles pour les insectes, le ddt étant le plus tristement célèbre d’entre eux. Avec la fin de la 2ème guerre mondiale l'utilisation des pesticides s'est généralisée dans l'agriculture « moderne», le secteur militaire trouvant ainsi de nouvelles utilisations aux immenses stocks produits à l’origine pour l'usage offensif. C'est de cette manière que l'homme s'est mis à polluer systématiquement sa nourriture et son environnement.

     

    Par l’usage des pesticides (produits phytosanitaires), insecticides, herbicides, fongicides, l’homme a voulu protéger ses cultures de l’invasion des insectes, des « mauvaises herbes » et des champignons.

     

    Malheureusement certains pesticides ont la fâcheuse tendance à être peu dégradables. Ils passent d’un être vivant à un autre en suivant la chaîne alimentaire. Du végétal traité à l’animal, et si nous consommons les produits issus de ces animaux, ou les animaux eux-mêmes, la contamination se fait à l’homme.

     

    Plus une terre est enrichie en matières organiques, plus elle devient fertile et plus les végétaux qu’elle nourrit sont capable de se défendre contre les maladies et les parasites. Les micro-organismes du sol qui élaborent et fournissent aux plantes les éléments dont elles ont besoin sont nourris par les engrais organiques.

     

    À contrario, les végétaux cultivés avec des engrais chimiques, s’affaiblissent, perdent de leur vitalité et le pouvoir naturel qu’ils avaient de se défendre. Leur capacité à se reproduire décline également, on dit qu'ils deviennent dégénérés. De plus, les plantes perdent une part, parfois importante, des oligo-éléments qui les constituent, cuivre, magnésium, manganèse etc. L’une des raisons des nombreuses carences en oligo-éléments observées chez l’homme est à rechercher dans l’utilisation fréquente d’engrais chimiques dépourvus de ces précieuses et vitales substances. Il est indubitable que la santé des êtres vivants est mieux préservée par l’emploi d’engrais organiques, dont la composition est plus proche de ce que l’homme a soustrait au sol.

     

    Contrairement à ce que l’on pourrait penser, il ne suffit pas toujours de laver et/ou peler un aliment pour éviter les pesticides. Certains pesticides nommés systémiques, pénètrent dans la plante et quoi que l’on fasse on en retrouve des résidus au moment de la consommer. Notre alimentation contemporaine est donc souvent polluée avec des produits tels que les résidus de pesticides et les additifs alimentaires (voir la liste des codes e). Ces substances xénobiotiques4, abîment nos intestins et les rendent hyperperméables. Le foie a aussi de la peine à gérer toutes ces particules toxiques.

     

    Du fait que nos enzymes ne sont pas adaptées à la digestion de toutes ces particules alimentaires, que notre intestin est devenu hyperperméable et notre foie est saturé de xénobiotiques, tous ces aliments se transforment pour l’homme en véritable poisons. Dans ce contexte, il n'est plus rare d'observer des intolérances ou des allergies à toujours plus d'aliments. Les pesticides sont des perturbateurs endocriniens (pour rappel le glandes et organes endocriniens produisent les substances et hormones qui gèrent toutes les fonctions corporelles) reconnus, dont l’action peut provoquer des troubles de la fertilité, des cancers et des maladies neurologiques etc. en france, les chiffres publiés en 2010 par le gouvernement, montrent de 65,9 % des échantillons de fruits contenaient des résidus détectables. Ce contexte toxique est le résultat direct du développement de l’industrie et de la chimie dans un but uniquement mercantile. Depuis les années soixante, les pathologies chroniques se développent à une vitesse catastrophique. On peut citer le doublement des cancers, la perte de plus de 50 % des spermatozoïdes chez l’homme, l’augmentation des stérilités, des malformations néonatales, des allergies, des maladies neurodégénératives , l’apparition de nombreuses maladies orphelines. Chez les enfants, on pense que l’augmentation importante des cas d’autisme5, serait en partie provoquée par le développement de l’utilisation des pesticides.

     

     

     

    Ainsi les bisphénols a (ou bpa) sont les polymères obtenus à partir des phénols. On en trouve partout dans les emballages industriels. Ils sont des perturbateurs endocriniens qui font changer le sexe de certains poissons, provoque des pubertés précoces chez les petites filles et excitent les enfants. Avec les vaccins, les additifs alimentaires et les boissons gazeuses, ils font parties des causes principales de l’hyperactivité qui frappe tant d’enfants dans les pays modernes (dr. Christian tal schaller, nouvelle alimentation, planétaire, universelle et consciente p.48).

     

     

     

    En 2018 nous avons consulté sur internet le codex alimentarius6, qui est la liste des normes alimentaires internationales, elles comportait pas moins de 446 pages, pour plus de 350 additifs autorisés, ceci devrait plutôt nous alerter. Il est impossible de citer tous les symptômes associés à l’ingestion de pesticides, car ils sont trop divers et nombreux. Les additifs sont présents dans la majorité des aliments transformés, seuls ou ensembles. Leurs effets nocifs ne sont généralement pas immédiats mais subtils. Ils vous dégradent petit à petit et sont susceptibles de provoquer intolérances et allergies. Ils sont trop souvent utilisés pour modifier le goût des denrées alimentaires. En plus, ils sont addictifs.

     

     

     

    Les autorités, relayées par les médias, font souvent passer le message de la piste génétique pour masquer la réalité des conséquences des diverses pollutions auxquels vous êtes tous soumis. Ce type de message renforce l’opinion publique que si vous tombez malade c’est la fatalité… et que la science peut résoudre, tôt ou tard, tous les problèmes. Il suffit de voter les budgets pour la recherche médicale. Mais n’est-ce pas justement la « science » qui est la cause de bon nombre des problèmes auxquels nous devons faire face actuellement ?

     

     

     

    95 à 99 % des résidus de pesticides que les humains ingèrent, proviennent de la viande, des produits laitiers et des œufs, or ces pesticides sont hautement cancérigènes. (dr. Christian tal schaller, nouvelle alimentation, planétaire, universelle et consciente p. 32).

     

    Les gènes de l’homme se sont façonnés au cours des millénaires, le péril de l’utilisation de produits chimiques dans notre environnement et la destruction de gènes, leur affaiblissement ou leur mutation.

     

     

     

    « nous ne faisons plus de culture en europe. Nous gérons de la pathologie végétale. Nous essayons de maintenir vivantes des plantes qui ne demandent qu’à mourir tellement elles sont malades. » Claude bourguignon, ingénieur agronome français

     

     

     

    Toute la toxicologie actuelle repose sur le concept de « dose acceptable » ou de « seuil » et, depuis un demi siècle, pour ne pas devoir interdire tous les produits de consommation courante, les experts officiels n’ont pas cessé d’élever chaque année le seuil toléré de tel ou tel substance dangereuse.

     

    Mais la toxicologie moderne a mis en évidence un facteur étonnant : certaines substances dites toxiques sont plus dangereuses pour la santé à très faible dose ! (dr. Christian tal schaller, nouvelle alimentation, planétaire, universelle et consciente p.48).

     

    Malgré tout, de nos jours l’adjonction des produits chimiques à nos aliments et devenue la norme. Les épidémies de maladies dites de « civilisation ou émergentes» explosent. Selon les plus récentes études scientifiques l'alimentation erronée et polluée y contribue dans des proportions importantes la médecine actuelle a démontré que l’absorption quotidienne de cette chimie est dangereuse pour la santé. Le cumul entre eux de plusieurs produits phytosanitaires nommé « effet cocktail » est dont personne ne connaît l’ampleur des pathologies qu’il peut engendrer, a été reconnu comme extrêmement dangereux. Ces produits sont omniprésents dans nos denrées alimentaires.

     

    Les pesticides sont conçus pour tuer les organismes vivants, et la plupart d’entre eux le font en agissant sur le cerveau, c’est le mode opératoire de la majorité des pesticides. Irva hertz-picciotto, professeur de sciences de la santé publique et environnementale, à l’université de californie, us davis.

     

    Pour claude reiss7 il est tout à fait évident que les maladies comme les cancers, l'alzheimer, le parkinson sont aussi liées à l'absorption de pesticides (produits phytosanitaires). De Nombreux pesticides interfèrent avec les communications neuronales. La perturbation de ces communications et une des caractéristiques du parkinson ou de l'alzheimer.

     

    En quelques décennies, nos aliments sont devenus tellement dépourvus de substances nutritives et si pollués par la chimie, qu'ils contribuent désormais à nous rendre malades. Les scientifiques ont désormais pu prouver que les pesticides, même en traces, sont nocifs pour la santé. Le mélange de plusieurs substances chimiques, qui individuellement auraient des effets relativement bénins, crée un effet cocktail énorme. Les scientifiques ont remarqué que mélanger deux substances chimiques entre elles, créait une synergie qui augmentait de cent fois l'effet toxique. Quand l’on sait qu’une alimentation issue de l’agroalimentaire nous fait absorber plusieurs de ces substances nocives par jour… en matière de pesticides, les normes maximales fixées par l'union européenne ne tiennent pas compte de l'effet cocktail. 

     

    Cela revient à dire que nous ne sommes pas protégés par les normes en vigueur, puisque l'effet cumulé de tous les produits phytosanitaires que nous ingérons peut se révéler toxique voire mortel selon claude reiss.

     

    Le glyphosate (roundup) est l’un des exemples les plus emblématiques de la puissance des industriels qui fabriquent ces poisons, réunis en lobbys ils ont pu faire prolonger par bruxelles l’autorisation8 de leur produit phare. Pourtant selon david perlmutter, : le glyphosate résiduel modifie la composition des bactéries intestinales et sème le chaos physiologie chez l’homme. En voici quelques effets délétère pour la santé : 1) compromet notre capacité à éliminer les toxines, 2) perturbe le fonctionnement de la vitamine d, un facteur hormonal important pour le cerveau 3) entraîne une carence en fer, en cobalt, en molybdène et en cuivre 4) altère la synthèse du tryptophane et de la tyrosine (acides aminés importants pour la production de protéines et de neurotransmetteurs) 5) on observe aussi un lien entre le glyphosate et la maladie cœliaque 6) un des facteurs causal les plus importants dans l’augmentation des cas d’intolérance au gluten, en raison des ses effets délétères sur les bactéries intestinales 7) substance mutagène, toxique pour la reproduction et pour l’environnement, à l’origine de lésions oculaires graves, classé « cancérogène » par l’organisation mondiale de la santé. Pourtant, il est répandu par milliers de tonnes chaque année dans nos champs, nos rivières, sur notre nourriture. Pire encore, monsanto a déjà sorti au états-unis un nouveau produit pour remplacer le roundup, c’est le dicamba, également surnommé l’herbicide de l’apocalypse. Dernier né de la firme, conçu pour tuer toutes les cultures non ogm, il est infiniment plus dangereux que le roundup déjà hyper-toxique. Il contamine, par re-vaporisation provoquée par le vent, les plantes, les forêts et espèces sauvages environnant la zone traitée. C’est un effet voulu, une stratégie du fabricant pour soumettre tous les agriculteurs à l’achat de leurs semences ogm, les seules à résister, et à prospérer avec l’épandage du dicamba.

     

    Nous voyons arriver sur le marché des tas de molécules dont personne ne vérifie la toxicité ou la nocivité. Ainsi, la bible des chimistes chemical abstracts qui répertorie 22 millions de produits actuellement utilisés, mentionne que « seulement 300’000 d’entre eux ont été testés sérieusement pour évaluer leur toxicité ».

     

    Le retour vers une alimentation plus naturelle et nourrissante est en marche et il dérange beaucoup les multinationales des semences et des pesticides, elles multiplient les manœuvres pour discréditer l’agriculture biologique 9

     

    1La souveraineté alimentaire privilégie des techniques agricoles qui favorisent l'autonomie des paysans. Elle est donc favorable à l'agriculture biologique et à l'agriculture paysanne. Elle refuse l'utilisation des plantes transgéniques en agriculture. (Wikipédia.org mars 2018)

     

    2Voir divers sites qui en parle sur internet

     

    3 Voir le film « Solutions locales pour un désordre mondial ».

     

    4 Est une substance qui est étrangère à l’organisme vivant.

     

    5Aux États-Unis, la prévalence des cas d’autisme en 2012 serait de un cas pour soixante-huit !!! On peut parler de pandémie. (sciencesetavenir.fr)

     

     

     

     

    7 Ex-directeur de recherche au CNRS et à l'institut Jacques Monod

     

    8Fin 2017. Ce qui démontre la puissance des groupes d’influence dans les décisions européennes à Bruxelles

     

    9Isabelle Moncada,Émission télé 36’9 le 7 septembre 2016, sur RTS1 « Fruits et légumes trop pauvres en micronutriments: attention carences ! »

     

     

     

    Quant à moi j'ai décidé de ne plus alimenter ce système en ne m'alimentant plus avec ce système. 

     

     Pour en savoir + sur les pesticides et OGM (organisme génétiquement modifié) visitez le site: "Mouvement pour le droit et les respect des générations futures"  

    Mais également: Pesticides non merci

    Pesticides non merci-le film


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