•   C'est à partir des viandes non digérées que se forme dans l'intestin les substances le plus toxiques. La ration de viande doit rester modeste. 85% au moins de notre nourriture devraient être d'origine végétale, et 15 % au plus d'origine animale.  La viande Mal mastiquée, est mal digérée est responsable de putréfactions intestinales. On voit augmenter la fréquence des cancers du côlon dans les pays gros consommateurs de viande.   Catherine Kousmine, dans: " Sauvez votre corps !

    Dans nos sociétés, une alimentation riche en graisses et en aliments à forte densité énergétique, centrée autour d'aliments d'origine animale, a remplacé l'alimentation traditionnelle principalement basée sur des aliments d'origine végétale. Cela a joué un rôle clé dans l'augmentation de la prévalence des maladies chroniques évitables d'origine nutritionnelle : obésité, diabète, maladies cardio-vasculaires, cancers et ostéoporose principalement.

     

    Afin d'évaluer le coût des soins médicaux directement imputables à la consommation de viande, le Physicians Committee for Responsible Medicine (comité de médecins pour une médecine responsable) a comparé la prévalence de l'hypertension, des maladies cardiaques, des cancers, du diabète, des calculs biliaires, et de l'obésité chez les végétariens et chez les non-végétariens aux Etats-Unis. Il ressort de cette étude qu'entre 29 et 61 milliards de dollars annuels sont directement attribuables à la consommation de viande.

      Une alimentation pléthorique et trop riche en graisses favorise l'obésité, laquelle augmente considérablement le risque de maladies cardiaques, d'accidents vasculaires cérébraux, de diabète, et de divers cancers. Ces quatre pathologies sont responsables de plus de la moitié de l'ensemble des décès dans les pays riches.

    Il est donc possible de prévenir ou de guérir les maladies liées à la sur-alimentation par un changement d'habitudes alimentaires et de mode de vie.

    Ainsi, 30 à 40% des cancers, 17 à 22% des maladies cardio-vasculaires et 24 à 66% des cas de diabète pourraient être évités par une forte réduction de la consommation d'acides gras saturés (présents principalement dans la viande, les oeufs et les produits laitiers) et par une augmentation de l'activité physique.

    Une recherche menée par l'école de santé publique de Harvard a montré que les alimentations traditionnelles ayant été associées à une meilleure espérance de vie et à un taux réduit de maladies d'origine nutritionnelle étaient des alimentations basées principalement sur des aliments végétaux (riches en céréales complètes, légumes, fruits et noix), et de très faibles quantités -voire une absence- de produits animaux.

    Alimentation et santé publique: un constat inquiétant

     


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  • Avec l'émission télé de France3 " C'est pas sorcier " CLIQUEZ SUR LES LIENS pour Testez vos connaissances sur les PESTICIDES et l'agriculture biologique 

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  •  ALIMENTATION, OBESITE ET DIMINUTION DE L'ESPERENCE DE VIE

    Les habitudes alimentaires ont considérablement évolué depuis le milieu du XXème siècle. Comme cela est observé dans le rapport commun de l'OMS et de la FAO de 2002 intitulé « Alimentation, nutrition et prévention des maladies chroniques », une alimentation riche en graisses et en aliments à forte densité énergétique, centrée autour d'aliments d'origine animale, a remplacé l'alimentation traditionnelle principalement basée sur des aliments d'origine végétale. Cela a joué un rôle clé dans l'augmentation de la prévalence des maladies chroniques évitables d'origine nutritionnelle : obésité, diabète, maladies cardio-vasculaires, cancers et ostéoporose principalement.1 


    Ces maladies ne sont plus limitées aux « pays riches », et constituent désormais un problème de santé publique croissant dans les pays en développement, où le modèle alimentaire « occidental » se propage et remplace souvent les alimentations traditionnelles.


    EVOLUTION DES HABITUDES ALIMENTAIRES


    Entre 1950 et aujourd'hui, soit en à peine deux générations, l'alimentation des Français (de même que celles des autres pays occidentaux) s'est complètement transformée. Ce phénomène peut s'expliquer par les profondes mutations économiques et sociales ayant conduit à un bouleversement des modes de vie au cours de cette même période.

    Cette modification des modes alimentaires s'est traduite par:

    • une forte augmentation de la consommation de viande, produits laitiers (yaourts, fromages), produits à index glycémique élevé (boissons sucrées, desserts lactés sucrés et glaces notamment), produits gras (dont fromage et charcuterie);
    • une forte diminution de la consommation de pain, céréales, pommes de terre, légumes secs.

    Ces évolutions ont conduit à une alimentation trop riche en lipides, trop riche en sucres rapides et trop pauvre en fibres.2 L'effet néfaste de l'excès quantitatif de graisses est renforcé par le déséquilibre qualitatif des graisses consommées (excès d'acides gras saturés du fait de la consommation excessive de produits animaux, déséquilibre entre oméga6 et oméga3). Concernant les protéines, la tendance est également à l'excès et au déséquilibre qualitatif : près de 80% des protéines consommées sont désormais d'origine animale, quand elles étaient à 80% d'origine végétale il y a un siècle.3


    CONSÉQUENCES SUR LA SANTÉ : TENDANCES GÉNÉRALES


    Alors que la sous-alimentation et les carences en vitamines et minéraux, répandus dans les pays pauvres, affectent la santé générale dès l'enfance, la SUR-ALIMENTATION  a une incidence à long terme sur la santé, engendrant des maladies cardiaques, des cancers ou d'autres maladies chroniques qui apparaissent généralement à partir de la quarantaine et au-delà.


    Des chercheurs de l'université de Harvard ont montré que la SUR-ALIMENTATION  était responsable d'au moins autant de cas de maladies de par le monde que la sous-alimentation, et que plus de la moitié du fardeau mondial des maladies résultait d'une mauvaise alimentation (par manque, par excès ou par déséquilibre).


    Une alimentation pléthorique et trop riche en graisses favorise l'obésité, laquelle augmente considérablement le risque de maladies cardiaques, d'accidents vasculaires cérébraux, de diabète, et de divers cancers. Ces quatre pathologies sont responsables de plus de la moitié de l'ensemble des décès dans les pays riches.

    En outre, avec l'augmentation de l'obésité juvénile, il est à prévoir que ces « maladies d'adultes » toucheront à l'avenir de plus en plus de jeunes.


    Cancers

    L'incidence des cancers a augmenté de 63% en France entre 1980 et 2000. C'est aujourd'hui la première cause de mortalité en Europe.

    D'après le Fonds mondial de recherche contre le cancer, un simple changement d'habitudes alimentaires permettrait de prévenir 30 à 40% des cas de cancers dans le monde, soit autant voire plus que l'arrêt du tabac.


    Diabète

    Le nombre de diabétiques dans le monde a quintuplé entre 1985 et 1998, passant de 30 millions à 143 millions. Le diabète est désormais la 3ème cause de mortalité en Europe. Sans compter qu'il est également indirectement responsable de nombreux autres décès. La Fédération Internationale du Diabète estime que le nombre de diabétiques doublera d'ici 2025 pour atteindre les 300 millions.
    D'autre part, le diabète de type 2 touche de plus en plus de jeunes adultes et d'enfants (20% en 1998 contre seulement 4% au début des années 1990).


    Maladies cardio-vasculaires


    « On estime que d'ici 2020, les deux tiers de la charge mondiale de morbidité seront imputables à des maladies non transmissibles chroniques, pour la plupart nettement associées au régime alimentaire. Le passage à une alimentation comportant davantage de denrées alimentaires raffinées, d'aliments d'origine animale et de graisses joue un rôle majeur dans l'épidémie actuelle d'obésité, de diabète et de maladies cardio-vasculaires, entre autres affections non-transmissibles. » Bulletin de l'OMS n°80, 2002

    Les maladies cardio-vasculaires restent la deuxième cause de décès en Europe, bien que les progrès de la médecine aient permis de diminuer la mortalité liée à ces maladies au cours des dernières décennies. Cependant, du fait de l'augmentation de la prévalence de quatre facteurs de risque de ces maladies (obésité, tabagisme féminin, sédentarité et pollution de l'air), on peut craindre un retournement de cette tendance et une évolution à la hausse de la mortalité par maladies cardio-vasculaires dans les années à venir.


    VERS UNE DIMINUTION DE L'ESPERANCE DE VIE ?


    Des chercheurs des universités de Harvard et de Washington ont conduit en 2008 une étude qui a mis en évidence une baisse de l'espérance de vie des femmes dans certains comtés défavorisés des Etats-Unis, ceux où l’on trouve le plus de décès entraînés par des maladies chroniques liées au tabac, à l’obésité, au surpoids et à l’hypertension artérielle. Le docteur Murray qui a mené cette étude a déclaré : « Dans la mesure où les modes de vie malsains mis en cause dans cette étude se répandent partout, on peut craindre que la baisse de la longévité ne se généralise. Je pense que c'est un signe avant-coureur. Cette situation ne restera pas un cas isolé limité à ces comtés. Les coûts de santé publique ne cessent d'augmenter, de même que la prévalence de l'obésité et de l'obésité infantile. »

    Une autre étude menée par des chercheurs américains en 2005 avait déjà conclu que l'augmentation continuelle de l'espérance de vie observée depuis deux siècles aux Etats-Unis allait prochainement se renverser à cause de l'épidémie d'obésité. Etant donnée la diffusion du mode d'alimentation américain à l'ensemble de la planète, on peut craindre que ce phénomène ne se généralise.


    En effet, la « Framingham heart study » a montré qu'un simple surpoids faisait perdre en moyenne 3 ans de vie, alors que l'obésité faisait perdre en moyenne entre 7 ans de vie pour un non-fumeur et 14 ans pour un fumeur.



    « Je pense que d'ici peu, à cause de ces deux épidémies [obésité et diabète de type 2], nous allons commencer à voir une diminution de l'espérance de vie. » Pr Claude Bouchard, président de la Société Internationale d'Etude de l'Obésité, 2004

    Dans son livre paru en 2006 intitulé « Espérance de vie, la fin des illusions », le scientifique Claude Aubert prédit lui aussi une baisse de l'espérance de vie dans les décennies à venir du fait d'une convergence de facteurs dont les principaux seraient l'obésité et la pollution. Selon lui « si nos habitudes alimentaires n'ont pas empêché l'espérance de vie d'augmenter, c'est parce qu'elles sont trop récentes pour avoir déjà un impact notable [...] la première génération à n'avoir connu depuis l'enfance qu'une alimentation proche de celle d'aujourd'hui, trop riche en viande, en matières grasses et en glucides rapides, est née à la fin des années 1960. Elle a aujourd'hui moins de 50 ans et est donc trop jeune pour que les principaux effets de ces déséquilibres se traduisent déjà par une augmentation sensible de la mortalité. »


    QUELLES SOLUTIONS ?


    Une étude a montré que la viande, les produits laitiers, les œufs et les graisses animales représentaient 77% des apports en acides gras saturés et 100% des apports en cholestérol dans les pays développés.

    Afin d'évaluer le coût des soins médicaux directement imputables à la consommation de viande, le Physicians Committee for Responsible Medicine (comité de médecins pour une médecine responsable) a comparé la prévalence de l'hypertension, des maladies cardiaques, des cancers, du diabète, des calculs biliaires, et de l'obésité chez les végétariens et chez les non-végétariens aux Etats-Unis. Il ressort de cette étude qu'entre 29 et 61 milliards de dollars annuels sont directement attribuables à la consommation de viande.


    Il est donc possible de prévenir ou de guérir les maladies liées à la sur-alimentation par un changement d'habitudes alimentaires et de mode de vie. Ainsi, 30 à 40% des cancers, 17 à 22% des maladies cardio-vasculaires et 24 à 66% des cas de diabète pourraient être évités par une forte réduction de la consommation d'acides gras saturés (présents principalement dans la viande, les oeufs et les produits laitiers) et par une augmentation de l'activité physique.6

    Une recherche menée par l'école de santé publique de Harvard a montré que les alimentations traditionnelles ayant été associées à une meilleure espérance de vie et à un taux réduit de maladies d'origine nutritionnelle étaient des alimentations basées principalement sur des aliments végétaux (riches en céréales complètes, légumes, fruits et noix), et de très faibles quantités -voire une absence- de produits animaux.


    L'exemple de la Corée du Sud corrobore ce constat. La population de ce pays a conservé son alimentation traditionnelle largement végétale, en dépit des évolutions socio-économiques de ces dernières années. Des études ont montré que les maladies chroniques et l'obésité étaient moins fréquentes en Corée du Sud que dans les autres pays industrialisés ayant un développement économique comparable.


    CONCLUSION


    La sur-alimentation est donc une forme de malnutrition dont les conséquences en termes de santé publique sont aussi lourdes qu'une autre forme de malnutrition, la sous-alimentation.


    Si près de 900 millions de personnes dans le monde souffrent encore de la faim, le nombre de personnes en surpoids dépasse désormais 1 milliard de personnes et ne cesse de s'accroître, y compris dans les pays en développement.


    Si rien n'est fait pour enrayer cette véritable épidémie et son cortège de maladies chroniques, un renversement à la baisse des tendances de longévité est à prévoir, sans parler de l'accroissement de la morbidité liée à ces maladies.


    Les professionnels de santé peuvent et doivent agir au quotidien contre ce phénomène, en divulguant le plus largement possible des conseils hygiéno-diététiques adaptés : promotion d'une alimentation principalement végétale, augmentation de l'activité physique, arrêt du tabac, etc...

     

    * Entendons par sur-alimentation une alimentation hyper-énergétique et/ou déséquilibrée par surabondance d'un ou plusieurs types de nutriments nocifs en excès (graisses, sucres rapides, protéines animales). Une alimentation hyper-énergétique est une alimentation qui apporte plus de calories que le corps n'en a besoin, ce besoin étant variable en fonction de l'activité physique.

    http://sos-crise.over-blog.com/article-alimentation-obesite-et-diminution-de-l-esperance-de-vie-liens-a-lire-49637913-comments.html

     

    Mangez moins et mangez mieux !

    Pour manger moins: Selon Astrid Stuckelberger, spécialiste de la médecine anti-âge, chargée d'enseignement et de recherche à UNIGE, invitée de l'émission "Mise au point" diffusée sur la TSR1 le 15 mai 2011, les études scientifiques menées démontrent que c'est la restriction calorique qui est le meilleur facteur de longévité et de non pathologies ! diminuer de 20% sa ration alimentaire quotidienne permettrait d'augmenter de 30% l'espérance de vie ! 

    Pour manger mieux: à travers les articles, les liens et les vidéos, je donne quelques pistes sur ce Blog, à vous de jouer !
     

     

     

     


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  • CONSOMMER LES BONNES HUILES ALIMENTAIRES ET CORPS GRAS 

     L'émergence de l'alimentation "moderne" s'est accompagnée de l'arrivée dans notre alimentation de graisses industrielles, solides ou liquides, artificielles et quasi mortes. Ces corps gras n'ont pas la capacité de réparer nos cellules usées, seuls les corps gras naturels, nobles ou essentiels ont cette capacité vitale pour nous. La suppression des corps gras industriels et leur remplacement par les huiles riches en vitamines F est la base d'un retour à une alimentation équilibrée. 

    Les deux acides gras essentiels pour l'homme "Essentiels" signifie qu"ils ne sont pas synthétisés par notre organisme et qu'il doivent donc être apportés de l'extérieur.  sont l'acide linoléique et l'acide alpha-linolénique, respectivement omega 6 et omega 3. . Les vitamines F ou: acides gras poly-insaturés (omega 3 et omega 6)  sont indispensables au bon fonctionnement de l’organisme,le corps ne sait pas les fabriquer. Ces graisses servent à fabriquer de nombreuses molécules qui agissent, au niveau de la cellule, comme des hormones. Appelées « médiateurs cellulaires », ces molécules régulent toutes sortes d’effets, comme l’immunité ou l’inflammation, et permettent à nos cellules de communiquer entre elles et d’interagir.       

     Il a été scientifiquement démontré que  ces nutriments essentiels diminuent  les risques d'apparition de maladies telles que: cancers, dépression, obésité, ou de maladies neuro-dégénératives comme la maladie d’Alzheimer. De façon générale ils  ils réduisent aussi   la mortalité.  

    HUILES PRESSEES A FROID LE BON CHOIX

    Les huiles pressées à froid rancissent facilement; du fait de leur richesse en vitamines (acides gras polyinsaturés, dit essentiels) - corps très réactifs et qui nous sont précieux - elles s'oxydent à l'air, à la lumière, à la chaleur. Plus elles sont riche en vitamines F, plus les huiles s'altèrent rapidement. Dès que le récipient qui les contient est ouvert, il convient de le mettre au réfrigérateur, autrement dit, au froid et à l'obscurité. l'Huile idéale n'existe pas, elle serait un mélange de diverses huiles. A ce propose des maisons comme Vigean propose à la vente des mélanges d'huiles de qualité. Les huiles Vigean Quattuor et Vigean Quintuor sont des  exemples de mélanges équilibrés permettant de combler nos besoins. D'autres marques comme les produits Kousmine et Émile Noel proposent des mélanges d'huiles de qualité prêtes à l'emploi. Se sont principalement les commerces spécialisés en diététiques et/ou en alimentation Biologique qui les vendent.

      HUILES EXTRAITES A CHAUD, RENDEMENT, MAIS PERTE DES ÉLÉMENTS NUTRITIFS

     Vers 1940 la technique d'extraction de nos HUILES  alimentaires a subi modification importante. On s'aperçut que par la pression à froid, il n'était possible d'obtenir que la moitié des huiles contenues dans les graines; la pression à chaud (160-200 degrés) donne un rendement double. Les huiles du commerce sont obtenues par pressions à chaud. Elles sont raffinées et stabilisées. Grâce à ces méthodes le rendement est doublé  et les huiles peuvent être vendues meilleur marché.

    Ces huiles "modernes" sont stables; elles se gardent et se stockent très bien. Elles ont perdu leur goût spécifique et la faculté de rancir, mais en même temps elles sont devenues des aliments morts, dépourvus des facteurs nécessaires au bon fonctionnement de notre organisme, au renouvellement de nos tissus.Si nous ne consommons que de telles huiles, nous devenons carencés et fragiles.

    Les vitamines F (omega3 + omega 6) ou acides gras polyinsaturés, que ces huiles contiennent et qui nous sont indispensables, se déforment sous l'influence de la chaleur et deviennent biologiquement inactives.

    Un excès de beurre, de graisses animales saturées, de graisses végétales raffinées et mortes, et surtout une carence en huiles vierges de première pression à froid riches en acides gras poly-insaturés fragilisent et augmente la perméabilité des membranes cellulaires de tout l'organisme, et en particulier celles de l'intestin qui est particulièrement mince, 25 à 30 millièmes de millimètres. "Lorsque la fine membrane de l'intestin a une structure normale, nous sommes suffisamment protégés contre la résorption éventuelle de microbes et de toxines, mais lorsque nous nous alimentons mal, cette membrane délicate devient anormalement poreuse et laisse passer à foison bactéries et poisons. Le foie qui reçoit le sang, et les ganglions lymphatiques dans lesquels se déverse la lymphe de provenance intestinale, fonctionnent à la façon de filtres. S'ils peuvent arrêter et neutraliser les germes et les toxines, il ne se passe rien, mais s'ils sont chroniquement débordés, des maladies graves apparaissent". Dr.  C.Kousmine

     

    BEURRE MARGARINE

     

     Saviez-vous que la plupart des margarines contiennent 50% d'huile de Palme ? (graisse saturée) parfois hydrogénée. Huile réputée nocive voire toxique pour la santé. En comparaison, le Beurre ne contient qu'environ 25-30% de graisse saturée et sans huile de Palme. Faites votre choix ! 

     A partir de matières premières bon marché, huile de palme par exemple (la plus répandue), on parvient en les chauffant en présence de nickel et d'hydrogène à élever le point de fusion de ces corps gras et à fabriquer des substances solides à 20 degrés. Ce processus s'appelle: l'hydrogénation. Les molécules ainsi obtenues sont artificielles et totalement étrangères à la nature ! Ces corps gras apportent sans doute des calories et peuvent nous empêcher de mourir de faim, mais ils sont inaptes à reconstruire les structures cellulaires fines usées, et contribue ainsi à notre malnutrition. Les margarines sont fabriquées selon ces procédés. La consommation de ces corps gras artificiels, de même que celle d'huiles dénaturées, augmente le besoin en vitamine F biologiquement actives et en aggrave la carence.

     Toutefois: contrairement aux huiles tirées de graines vivantes et crues, le Beurre est très pauvre en vitamines grasse F, polyinsaturées, qui nous est indispensables. Le Beurre est une graisse prévue par la nature, non point pour nous, mais pour le Veau. Cet animal doit accomplir en six mois une performance qui consiste à passer de l'état de nouveau-né pesant 35 kilos, à celui d'un être indépendant de 225-250 kilos... il y a une grande différence entre la tâche biologique d'un être humain adulte et celle d'un veau. à vous de choisir entre scléroser vos artères, abîmer votre peau, en accélérant son vieillissement, ou changer vos habitudes alimentaires. Dr. Catherine Kousmine

     Le beurre a une influence perméabilisante sur la muqueuse intestinale, hors les molécules alimentaires dissoutes par les sucs gastriques doivent traverser la paroi intestinale et être mise à la disposition de notre organisme pour le nourrir, autrement dit pour lui fournir l'énergie qui lui est indispensable et la matière première nécessaire à sa croissance et à sa réparation ! 

    Les graisses saturées stimulent anormalement la production de bile, d'où une plus grande production d'acides biliaires. Par ailleurs, la richesse en graisses saturées modifie la flore intestinale et augmente sa concentration en bactéries qui tendent à favoriser la conversion des sels biliaires en substances cancérigènes. Les graisses végétales solides, étrangères à la nature, augmentent le besoin en vitamine F, et perturbent les processus immunitaires. 

    Remplacer l'excédent de graisses saturées par des huiles  de qualité pressées à froid et Biologiques ne peut qu'apporter des bénéfices à notre organisme.    
    Par conséquent, pour votre consommation d'huiles crues, je vous recommande d'utiliser uniquement ces huiles comme celles de l'huilerie Vigean.  

     
     

     

     


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  •  BISPHENOL A - PHTALATES 

    Bisphénol A (BPA) aussi dans l'eau du Robinet dans une moindre mesure ! A Bon Entendeur 

    http://www.tsr.ch/emissions/abe/

    Une liste exhaustive des objets contenant du Bisphénol A est quasiment impossible à établir; on le retrouve dans l'eau des lacs et rivières que nous contaminons tout simplement par nos voies naturelles, en allant aux toilettes

    mais aussi dans les Biberons Cannette, boîte de conserve, vaisselle et couvert en plastique, joint, adhésifs, casque, lunette de sport, cd, dvd, divers matériel informatique et électronique, certains amalgames dentaires, équipement médicaux, verre de lunettes et lentilles de contact, certains équipements automobiles, et certains tickets de caisse, le BPA passe à travers la peau !

    Le Bisphénol A est un œstrogène de synthèse contenu principalement dans les plastiques, les polycarbonates. Cette molécule peut se détacher des plastiques et migrer à faible dose dans les liquides contenu par exemple dans les biberons.   Le problème c'est que le Bisphénol A est un perturbateur endocrinien, c'est-à-dire une des nombreuse molécules qui peuvent s'opposer dans le fonctionnement normal du système hormonal. Les risques induit par un dérèglement du système hormonal sont importants. Sur les animaux de laboratoire les observations sont plutôt inquiétantes, on parle notamment de troubles du comportement et de la reproduction, de liens avec certains cancers, l'obésité ou les maladies cardiovasculaires. Le Bisphénol A est suspecté d'augmenter les risques de puberté précoce chez les femmes, de cancer de la prostate ou du sein et les anomalies de reproduction.

    Et les doses journalières admissibles, censées être sans danger pour la santé, sont de nos jours remises en cause  par des experts comme Claude Reiss (ex directeur de recherche au CNRS) car elles ont été établies il y a 30 ou 40 ans, et l'on sait désormais des ces perturbateurs endocriniens sont actifs déjà à des doses extrêmement faibles, sans parler de l'effet cocktail (cumulatif avec d'autres substances chimiques)

    La situation est d'autant plus sérieuse que l'on sait que le Bisphénol A n'est de loin s'en faut pas le seul perturbateur endocrinien présent dans notre environnement. On pense au filtre UV des crèmes cosmétiques, d'ailleurs les scientifiques qui ont mené les études recommandent de ne pas le appliquer sur le femmes enceinte et les enfants...

    Ces présomptions scientifiques ont entraîné plusieurs États à l'interdire partiellement ou complètement le Bisphénol A. 

    Ce perturbateur endocrinien  on le retrouve jusqu'à l'intérieur des bouilloires électriques. En résumé il nous a envahi !

    Vous l'aurez compris, il devient pour ainsi dire impossible d'éviter le contact avec cette substance qui se cache dans de nombreux produits d'usage courant. 

    Aujourd’hui le plastique est en accusation : baisse de la fertilité, malformations génitales, puberté précoce, cancers, obésité, troubles du comportement et même retards de développement chez l’enfant. En France, l’utilisation de Bisphénol A dans la fabrication des biberons est interdite depuis six mois… Mais si ce composant est dangereux pour la santé pourquoi ne pas étendre l’interdiction à tous les emballages alimentaires ? Des études américaines et canadiennes ont détecté du plastique dans les urines d’environ 90 % de la population ! Mais aucune étude de ce type n’a encore été menée en France. Pollution de notre corps et de la planète. Du plastique disséminé, sur les plages, au fond des rivières, dans l’estomac des oiseaux, l’intestin des tortues... Quelle est la réalité du recyclage du plastique ? Aujourd’hui la France est à la traîne avec seulement 22 % des emballages plastiques recyclés. Faut-il bannir le plastique de notre quotidien ? L’équipe de Pièces à conviction a enquêté dans un monde où les enjeux industriels priment parfois sur la santé et l’environnement. Les journalistes se sont également soumis à un test en laboratoire dont les résultats seront révélés lors de l’émission.

    Emission "Pièces à Conviction" France 3  - 6 déc. 2010 "L'emballage qui tue" L'emballage qui tue 2"  

    Peut-être qu'un jour l'on se dira, mais pourquoi on l'a pas fait interdire plus tôt !


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